Lorsque celui qui a formé tant des grands chefs qui font la fierté de notre gastronomie nationale montre autant de simplicité, d'abnégation et d'humilité, on prend tous une leçon de vie.

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Ne lui dites pas qu'on ne voit pas de soleil dans les Hauts de France, ni des homards bleus ni des rougets… Laissez-la plutôt vous dire les gens du Nord et leur sens du plaisir. Première femme cheffe à avoir deux étoiles,…

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Magnus Ek is chef-owner of two restaurants in Stockholm, Oaxen Krög&Slip, a bistro and a double-starred fine-dining restaurant. In a country where seasons are so important for products and restaurants, he is committed to a sustainable and…

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Cyril Lignac est le cuisinier le plus populaire de France. Dès 2005, il a été le pionnier d’une nouvelle forme d’émissions culinaires à la télévision avec « Oui Chef ! » (M6). Depuis 12 ans, il n’a jamais quitté les écrans, tout en construisant un groupe qui compte aujourd’hui 11 établissements : 4 restaurants, dont un restaurant étoilé, le Quinzième, 5 pâtisseries et 2 chocolateries. À 40 ans, il a trouvé son équilibre, entre médiatisation et construction d’un groupe de 150 personnes.

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Avec ses faux airs de Moby, sa décontraction toute suédoise, Magnus Ek, chef de Oaxen Krög&Slip**, à Stockholm, affirme son engagement pour une cuisine durable et respectueuse. Il a reçu Bruit de Table pour parler de la cuisine nordique, de sa fierté d'être étoilé, des dégâts du 50Best et de sa vision de l’avenir. Un bol d’air vif avec un chef serein au regard pétillant.

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Dans la dernière partie d’un long entretien qui en comporte quatre (avec « Demain sera mieux », « La Mer » et « Le rôle des chefs »), il évoque son parcours, sa vie de chef un temps rythmée par les guides gastronomiques mais très vite tournée vers la transmission d'une maison qui aurait pu disparaître lorsque sa santé l'a contraint au retrait. Cette transmission se passe aujourd'hui avec son fils Hugo, revenu au bercail après une première carrière dans la marine marchande.

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Andreas Caminada. chef suisse de 40 ans, est auréolé de trois étoiles au Guide Michelin, pour une cuisine dont l'identité puise dans un territoire suisse alémanique, qu'il observe depuis son château à la sortie de la "plus petite ville du monde", Fürstenau, dans le canton des Grisons, au coeur d'une vallée sur fond de cimes enneigées. À l'occasion de la deuxième édition du Chefs World Summit, il parlera recrutement, et mettra en lumière sa fondation.

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Dans la troisième partie d’un long entretien qui en comporte quatre Olivier Roellinger revient sur le rôle des chefs, central à plus d'un titre pour que les choses changent. Il souligne entre autres la responsabilité qu'il y a à s'intéresser non seulement aux produits, mais aux producteurs, aux artisans, à les connaître, à établir une collaboration qui enrichisse chacun, pas seulement dans un rapport d'argent.

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Christophe Pelé a le débit mitraillette des grands inquiets. Le chef du Clarence, récompensé de deux étoiles au Guide Michelin quelques mois seulement après l'ouverture, a pourtant de quoi être fier de son parcours. Il se dit d'ailleurs apaisé, dans un décor pensé par le Prince Robert de Luxembourg, qui tranche avec son ancien restaurant, La Bigarrade, "bistrot de quartier" lui aussi distingué en son temps par le Michelin (deux étoiles). Le Breton issu d'un milieu populaire, formé à l'école de Bruno Cirino et de Pierre Gagnaire, sait d'où il vient et où il va.

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Après Akrame Benallal, qui nous a dit pourquoi il était impatient de revenir, pour participer à une table ronde sur les les étoiles, le chef breton de 55 ans se prête lui aussi à l'exercice. Les étoiles, il connaît, il en a décroché trois en 2002 au Pavillon Ledoyen, qu'il a récupérées dès son arrivée en 2016 au Cinq de l'Hôtel George V. Lors de la première édition du Chefs World Summit, il avait raconté cette folle aventure ; à l'occasion de la deuxième édition, il viendra expliquer ce qu'est un chef de palace.

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